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"name":"1939-1945 : Un village pendant la guerre",
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"name":"A l'aube de la guerre",
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"text":"Quel était le Blain d’avant-guerre ? Au milieu du XXe siècle, la population s’élève à moins de 6000 habitants, à grande majorité rurale. Le rythme, les conditions de vie, la physionomie du bourg, sont à imaginer.",
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"src":"Jacqueline Leroux",
"accroche":"Mamie Jacotte raconte les métiers disparus",
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"text":"C’est dans ce contexte que les Blinois assistent aux événements dramatiques des années 1930 : les difficultés économiques, la montée du fascisme et du nazisme, l’installation progressive de régimes totalitaires en Europe. Au cours de l’année 1939, l’Allemagne nazie crée ses alliances, l’Autriche est annexée, la Tchécoslovaquie puis la Pologne sont envahies.
Le
3 septembre 1939 : La France et l’Angleterre déclarent la guerre à l’Allemagne. Alors que Blain se vide peu à peu des hommes en état de porter les armes, des réfugiés affluent des zones menacées par l’ennemi.",
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"text":"\"
Mon premier souvenir, c’est d’avoir vu mon père pleurer après avoir entendu à la radio que la guerre était déclarée. J’avais huit ans. Je me souviens aussi des cloches qui sonnaient le tocsin. Les jours suivants nous avons été dire au-revoir au tonton Roger qui était mobilisé.\" Paul Couedel ",
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"name":"La période anglaise",
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"accroche":"La cohabitation avec les Anglais",
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"text":"Le
11 novembre 1939, des milliers de soldats anglais arrivent dans la région blinoise pour y installer leur ravitaillement, reliant les grandes villes par les voies de chemins de fer qu’ils consolident. Matériel, vivres, munitions et carburant sont stockés dans les forêts, au Pré Saint-Laurent, au vieux-château, sur le domaine du Pont-Piétin, à la Havardais, au Breil, à Chassenon ou aux Buttes.",
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"text":"\"
Chaque soir, les Tommies venaient au bourg et les Blinois découvrirent, avec les problèmes de communication que posait la langue, d’autres coutumes et d’autres mœurs. Les unités écossaises avec leurs kilts étonnèrent. Les cafés étaient pris d’assaut, la bière, boisson peu prisée localement, coulait à flot. Une cohabitation de fraternisation s’instaura rapidement et ne se démentit pas pendant toute la drôle de guerre.\" Pierre Couroucé",
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"text":"Le
17 juin 1940, le Lancastria, chargé d’évacuer les soldats britanniques à partir de Saint-Nazaire, est coulé par les Allemands. Ce naufrage est l’un des plus meurtriers de l’histoire.",
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"name":"La débâcle",
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"imgs":[
"Emplacements des impacts du bombardement, longeant le chemin de fer.jpg",
"Attestation de la Croix-Rouge.jpg",
"Attestation de la Défense Passive.jpg",
"Avenue de la République.jpg",
"Derrière chez Mme Casson.jpg",
"La maison de M.Bréteché, rue de la République.jpg",
"La maison de M.Chesnais.jpg",
"La maison du docteur Allaire, rue du Château.jpg",
"La maison Gahier.jpg",
"Le café Marsac.jpg",
"Près du pont du chemin de fer.jpg",
"Rue de Pierre-Morin, bureau de M.Allaire.jpg",
"Rue du Château.jpg"
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"src":"Bombardement",
"accroche":"Le jour du bombardement ...",
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"text":"La \"drôle de guerre\" se termine avec l’invasion allemande des Pays-Bas, de la Belgique, du Luxembourg et de la France. Le
22 juin 1940, l’armistice est signé entre le IIIe Reich et le gouvernement de Pétain. Quelques soldats allemands sont signalés aux environs de Blain.",
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"text":"
17 juin 1940 : Vers 16h, le bourg de Blain est bombardé par l’aviation allemande. La gare et les ponts sont visés, mais ce sont les rues Pierre-Morin, St-Laurent et l’avenue Sortais qui sont gravement touchées. 18 personnes périssent et de nombreux blessés sont acheminés vers les pharmacies ou l’hôpital de Nantes.",
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"name":"Vivre à l'heure allemande",
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"imgs":[
"Bon de solidarité de 1 franc.jpg",
"Bon de solidarité de 10 francs.jpg",
"Carte individuelle d'alimentation de Mme Lebeau.jpg",
"Carte nationale de priorité accordée aux mères de famille.jpg",
"Guide du rationnement encore en vigueur en 1945.jpg",
"Les aliments sont rationnés.jpg",
"Réquisition au domaine du Pont-Piétin.jpg",
"Réquisition de trois ouvriers par les Allemands.jpg",
"Tickets de pain, encore en vigueur en 1949.jpg",
"Tickets pour les semences.jpg",
"Verso d'un ticket d'alimentation.jpg",
"Les journaux pendant l'occupation. Le Petit Blinois, lui, est interdit à partir de 1942.jpg"
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"src":"Les Allemands",
"accroche":"Vous souvenez-vous des Allemands ?",
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"accroche":"Les conditions de vie sous l’occupation",
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"text":"
16 et 23 septembre 1943 : Durant ces deux journées, l’aviation des Alliés ravage Nantes, laissant 10 000 personnes sans abris, de nombreux morts et blessés. Suite aux bombardements de Saint-Nazaire et de Nantes, les villes sont évacuées. Ouvriers et citadins se mêlent à la communauté rurale.",
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"text":"\"
Enfin, quelques jours plus tard arrivèrent les premiers éclaireurs allemands. C’était l’incompréhension, la stupeur et la peur : l’Allemand, l’ennemi de toujours, était là, chez nous !\" Pierre Couroucé",
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"text":"
De 1940 à 1945, les Blinois cohabitent avec les soldats, surnommés « les Vert-de-gris » par la couleur de leurs uniformes. Pendant la guerre et surtout sous l’occupation, la vie quotidienne est chamboulée. Les achats sont soumis au rationnement, hommes et matériel sont réquisitionnés, les déplacements requièrent des permissions par l’occupant.",
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"name":"Résister",
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"imgs":[
"Affiche de Michel Jacquot circulant dans les années 1940.jpg",
"Affiche sur le STO circulant dans les années 1940.jpg",
"Groupe de travailleurs STO.jpg",
"Discours du Général de Gaulle, 18 juin 1940.jpg",
"Quelques pensées en 1940 (J.Olivier).jpg",
"Suite du texte de J.Olivier.jpg",
"Brassard des F.F.I.jpg",
"Carte de combattant volontaire de la résistance.jpg",
"Carte individuelle de Libération-Nord.jpg",
"Emblême du 1er bataillon des F.F.I.jpg",
"Mémorial du maquis de Saffré.jpg"
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"elements": [
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"type":"content",
"text":"S’engager, aider, soutenir, adhérer : de diverses manières et plus ou moins activement, certains se sont opposés à l’ingérence allemande. Depuis l’appel du Général de Gaulle à Radio Londres, le 18 juin 1940, la résistance s’organise progressivement en France. En mai 1943, le Conseil National de la Résistance est crée et l’année suivante, les Forces Françaises de l’Intérieur unifient les groupes déjà existants. En Loire-Inférieure, le commandement régional de l’Armée secrète est confié au général Audibert, mais des arrestations massives début 1944 ralentissent le réseau. A Blain, le gendarme Marionneau impulse le mouvement de résistance, secondé par Luneau et Giraud du groupe Libération-Nord. Beaucoup des engagés fuient le travail forcé (STO), imposé depuis le 16 février 1943.",
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"text":"
\"Le Canal de Suez est en feu\", 7 juin 1944. Suite au débarquement des Alliés en Normandie, les F.F.I. reçoivent ce message codé : c’est l’ordre de prendre le maquis.
Dans les fermes des Brées et du Pas du Houx aux abords de Saffré, un groupe de 300 hommes attend le parachutage destiné à armer la résistance. Mais le 28 juin, près de 2000 Allemands encerclent la forêt, surprenant les maquisards dont seulement 60 sont armés. Si plusieurs réussissent à s’enfuir, d’autres sont tués au combat, ou arrêtés. Xavier Garçon nous raconte l’histoire de son frère, Jean, fusillé à la Bouvardière à la suite de cette attaque.",
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"src":"Colette Guillemard",
"accroche":"Colette Guillemard raconte la résistance",
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"accroche":"L’histoire de Jean Garçon, maquisard de Saffré",
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"name":"L'été 1944",
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"imgs":[
"Procession de Notre-Dame de Boulogne.jpg",
"Procession de Notre-Dame de Boulogne, bourg de Blain.jpg",
"Procession de Notre-Dame de Boulogne .jpg",
"A droite, le commandant Simon, maire de Blain.jpg"
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"elements": [
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"text":"L’été 1944 est celui de tous les espoirs. Dans les campagnes, on attend avec impatience l’arrivée des Américains. A l’annonce du débarquement, difficile de cacher sa joie face aux troupes allemandes : les tensions sont attisées.
15 juillet Passage de la procession de Notre-Dame de Boulogne. Les habitants ont décoré les rues à cette occasion, les prières invoquent la paix tant espérée.
5 et 6 août Les Allemands tentent de faire sauter le pont du Canal mais ne réussissent qu’à faire deux brèches dans le parapet ; la Résistance est là et les harcèle.
10 août Le maire et commandant Jean Simon prend la tête des F.F.I et accueille les Américains. Blain est libéré.",
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"text":"\"
Fous de joie sont les gens qui viennent d’être libérés de quatre années d’occupation. Fous de joie sont les jeunes qui organisent un bal sur la place et qui vont pouvoir danser alors que le couvre-feu leur interdisait jusqu’à présent les sorties nocturnes.(…) Fous sommes nous, nous tous qui croyons que la guerre est terminée.\" Paul COUEDEL",
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"text":"
17 septembre 1944 : Alors que les Blinois célèbrent encore leur libération, un terrible fracas les réveille dans la nuit. Lancé par les Allemands sur la voie de Bouvron à Blain, un wagon chargé d’explosifs a sauté entre le pont du chemin de fer et la gare. Le quartier de la Croix-rouge est gravement touché et dans un large rayon, toutes les vitres se sont brisées.",
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"src":"Le wagon",
"accroche":"L’explosion du wagon",
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"Bombardement de l'église de St-Omer.jpg",
"Bombardement de St-Omer, septembre 1944.jpg",
"Soldats aux abords de la Poche de St-Nazaire.jpg",
"Décembre 1944, F.F.I de retour de la Poche de St-Nazaire.jpg",
"Carte de réfugié de M.Olivier, 1944.jpg"
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"src":"Poche de St Nazaire",
"accroche":"Les empochés nous racontent...",
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"text":"Dans leur retraite devant l’avancée américaine, les Allemands se regroupent autour de Saint-Nazaire afin d’essayer d’interdire aux Alliés l’usage de l’estuaire de la Loire et des ports. Ainsi, alors qu’une partie de la France est déjà libérée, près de 125 000 habitants de la Loire-Inférieure demeurent sous l’occupation de 25 000 Allemands. A quelques kilomètres de Blain, la démarcation de la Poche fluctue au rythme des tirs d’obus américains. Pour les empochés, la guerre ne fait que s’intensifier pendant ces huit mois ; les bombardements dévastant les terres. Du 16 au 20 octobre 1944, l’ordre d’évacuation est donné aux fermes et villages de Blain, Fay et Le Temple. Les familles doivent quitter leurs exploitations avec les animaux pour se réfugier aux alentours.",
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"name":"La reddition, enfin !",
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"accroche":"Vive la libération !",
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"text":"Si l’armistice est signé le 7 mai 1945, les Allemands de la Poche de Saint-Nazaire ne se rendent que quatre jours plus tard. La cérémonie se déroule dans une prairie à Bouvron, à quelques kilomètres de Blain.
Le conflit aura fait 55 victimes parmi les Blinois.
251 autres ont été prisonniers en Allemagne, certains reviennent chez eux après six ans de captivité.",
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"text":"En 1945, 750 000 Allemands sont prisonniers de guerre en France. Certains y resteront quatre ans, jusqu’en décembre 1948.",
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{
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"text":"
11 mai 1945 : Reddition de la Poche de Saint-Nazaire
Général Jung : \"
En vous remettant mon arme, je vous remets la reddition de toutes les troupes allemandes de la Poche de Saint-Nazaire.\"
Général Kraemer : \"Je prends votre arme et vous avise que vous serez traités en prisonniers conformément aux lois de la guerre.\"
",
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"accroche":"Les prisonniers allemands",
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"text":"
Equipe techniqueProduction : Ville de Blain, EthnoDoc-Arexcpo
Réalisation : Caroline Raimbault
Recherche et rédaction : Caroline Raimbault
Prises de vues : Yves Batard, Jean-Pierre Bertrand (EthnoDoc)
Prise de son : Pierre-Marie Dugué (EthnoDoc)
Montage : Caroline Raimbault, Jean-Claude Mauvoisin-Delavaud (EthnoDoc)
Réalisation web : Francky Trichet, Yann Berthou, Hristina Mancheva, Caroline Raimbault (iRéalité)",
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Participants[class@credit_name Marie Lafoux] [class@credit_name Olivier Lafoux] [class@credit_name Jean Cornet] [class@credit_name Marylène Tancray] [class@credit_name Colette Guillemard] [class@credit_name Pierre Seroux] [class@credit_name Jean Friot] [class@credit_name Christian Joulain] [class@credit_name Jacqueline Leroux] [class@credit_name Maurice Marsac] [class@credit_name Guy Praud] [class@credit_name Xavier Garçon] [class@credit_name Marguerite Lebastard] [class@credit_name Jean Lebastard] [class@credit_name Antoine Anizon] [class@credit_name Georgette Deniaud] [class@credit_name Pierre Couroucé] [class@credit_name Paul Couedel] [class@credit_name Bazile Rouzioux] [class@credit_name Marguerite Lebeau]",
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"text":"
Nos remerciements particuliers à tous ceux et celles qui ont collaboré à la réalisation de cette exposition.Dominique Bécot, Béatrice Adetsi, l’équipe municipale.
La commission « Mémoire et Citoyenneté ».
L’association des Amis de Blain.
La Médiathèque « Le Puits au chat ».
La Ville de Bouvron.
Le Centre hospitalier spécialisé du Pont-Piétin.
Le domaine du Château de la Groulais.
Crédits photographiques ECPA et Musée de Blain",
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